Pour expliquer et  comprendre ces états de faits, je vais encore faire référence aux deux forces principales qui s’interpénètrent agissant dans la nature, respectivement la force d’attraction universelle entre deux corps et la force centrifuge, les deux s’inter conditionnant réciproquement.

      Pour une meilleur édification j’ai trouvé convenable de rappeler les suivantes notions de la physique;

      A la suite des observation astrologiques, J. Kepler a établit en 1619 les lois qui décrivent le mouvement planétaire au tour du Soleil.

      Celles-ci dénommées les lois de Kepler sont les suivantes:

      - les planètes meuvent sur l’ellipse ayant le Soleil situé entre un entre foyer.
      – le rayon vecteur de la planète décrit des airs égales à des intervalles de temps égaux (loi des airs).
      – les carrés des périodes de révolution sont directement proportionnels aux cubes aux semi axes grands, c’est-à-dire; T²=CR³
      - où période de révolution (T) signifie le temps pendant lequel la planète décrit une ellipse complète.

      En 1687, I. Newton a réussi à expliquer les lois du mouvement des planètes présupposant que le Soleil exerce une force d’attraction sur les planètes.

      Cette force d’attraction se manifeste comme une force centripète qui oblige chaque planète en partie de se déplacer suivant une courbe fermée en forme d’une ellipse.

      Newton a démontré que si l’on admet que la force d’attraction (F) de la part du Soleil qui agit sur la planète P est proportionnelle au produit entre les masses de celles-là et  inversement proportionnelle au carré de la distance r entre elle, se dirigeant ver le Soleil en direction PS, alors on peut expliquer les trois lois de Kepler.

      On n’a donc supposé que la force d’attraction est donnée par la relation;

      F=K.M_S.mp/r² où M_S est la masse du Soleil, mp est la masse de la planète, et K est une constante de proportionnalité.

      Généralisant, Newton est arrivé à la conclusion qu’entre n’importe quelle paire de corps de l’univers il existe une force d’attraction de forme; F=K.m₁.m₂/r²₁₂

      Où m₁ et  m₂ sont les masses des deux corps, et r₁₂ est la direction qui sépare leurs centres. La constante K s’appelle constante d’attraction universelle étant la même pour toutes les paires de corps qui s’attirent.

      En considérant ainsi par exemple des corps de masse égales à l’unité, situé à une distance r₁₂ égale à l’unité, nous obtenons: F=K. la constante K est ainsi numériquement égale à la force d’attraction entre deux masses unité, qui se trouvent à une distance égale à l’unité l’une face de l’autre.

      Dans le système SI sa valeur mesurée est K=6,66.10-11 [N.m2/kg]

      A cause de ses petites valeurs  K, la force d’attraction entre deux corps sur la surface de la Terre est petite, sa détermination expérimentale étant difficile.

      L’attraction de la Terre est tout de même importante, à cause de la grande masse de celle-ci. La force avec laquelle la Terre attire un corps détermine principalement le poids de ce corps.

      Suite à des observations extra professionnelles que j’ai faites par une étude en particulier de ces phénomènes qui m’intéressent beaucoup, je suis arrivé à la conclusion que en généralisant les lois de Kepler et  en expliquant les lois des mouvements des planètes par  I. Newton  on peut encore ajouter les principes suivants:

      - En cas des corps célestes vide à l’intérieur, composés de matières différentes donc à densité différente, chaque agglomération de matière constitue par des densités sensiblement égales vont former des agglomérations d’approximativement pareil composition se constituant apparemment comme des corps avec des masse indépendantes dans laquelle la matière respective est attirée au centre ou de masse comme centre de pesanteur  de l’agglomération respective.

      - Entre les centres de masse (les centres de gravité) de certaines agglomération de matières constituantes il existe des forces d’attraction universelle qui peuvent être calculés à base des lois d’attraction universelle entre deux corps. (F=K.m₁.m₂/r²₁₂)

      - la force centrifuge qui apparaît à cause de la rotation de la Terre, influence et  agit sur chaque agglomération de matière à densité proche qui a dans ce cas un centre propre de gravité respectivement un centre de masse.

      Acceptant logiquement également ces principes, nous pouvons constater immédiatement que pour le maintien en équilibre de toutes les formes de relief qui forment les surfaces de la Terre en mouvement de rotation (les forces d’attraction entre les centres de pesanteur de certaines agglomérations de la matière étant concomitamment influencés également par les forces centrifuges qui agissent dans l’ensemble des centres pesanteur situé entre la surface extérieure et  la surface intérieure de la Terre), il va résulter également de différentes formes de relief tant sur la surface extérieure que sur la surface intérieure de la Terre par rapport à la cote zéro de référence.

      Donc si sur la surface extérieure se trouve dans une certaine zone une montagne, c’est à supposer que à droite de celle-ci ou plus précisément sur la surface intérieure de la Terre il se trouve une accumulation d’eau considéré de densité matérielle la plus petite, - en compensation.

IMPORTANT!

      Autrement dit, les montagnes et les valées y compris celle remplies d’eau qui maintiennent en équilibre toute la forme quelque peu toroidde la Terre, - ne sont pas formés par hasard mais forment en contre balance avec l’eau des océans, des zones stables en équilibre dynamique grâce au mouvement de rotation de la Terre, des forces d’attraction universelle entre les différents groupements de matière de densités proches aussi bien que des influences des forces centrifuges qui s’opposent aux forces d’attraction universelle, - entre les deux surfaces se trouvant également une hypothétique cote zéro de référence -.

      La cote zéro de référence au sens de ce qui précédent, se trouvant sur une surface relativement sphérique et  équidistante entre la surface extérieure et  la surface intérieure de la Terre, respectivement n’importe où, mais quelque part entre les agglomérations de matières à densité plus grande d’une part et  d’autre part sur la direction des rayons, mais là où un hypothétique observateur même s’il essaie de se déplacer vers la surface extérieure ou vers la surface intérieure, il va devoir également dans un sens ou l’autre – monter - vers la surface choisie comme direction, car le poids de celuici est critique et  la pression spécifique étant également à sa valeur la plus grande comme résultat de l’action et  les cumulations de deux forces de sens contraire, comme centre instantané de pesanteur de la zone respective.

      De toute manière, l’influence de la force centrifuge causée par la rotation de la Terre détermine que cette cote zéro de référence se trouve à une distance (mesurée en rayon) un peu proche de la surface extérieure de la Terre.

      Revenant au titre de ce sous-chapitre dans la première phase on serait tenté de croire qu’un observateur se trouvant sur la surface intérieure de la Terre devrait peser plus qu’un observateur de même poids se trouvant sur la surface extérieure de la Terre, - cependant ce n’est pas vrai.

      Ce n’est pas vrai car l’influence de la force centrifuge que l’observateur respectif aurait pu appuyer sur le sol, est concomitamment annulée par l’effet des marées exercé par la matière diamétralement opposée qui annule cette influence déterminant ainsi qu’un observateur vers par exemple un homme au poids de 70 kg. puisse peser de la même façon, indifféremment de l’endroit où il se trouve sur la surface y compris dans les zones des  orifices de très grande dimensions des deux pôles de la Terre.

Par exemple si un observateur se trouvait à l’intérieur dans la zone des grands orifices d’entrée, à cause du fait que à cause du fait qu’une plus grand agglomération de matière se trouve là-bas il sera attiré par celle-ci avec une force plus grande mais en réalité il sera attiré également par la matière diamétralement opposée (par l’effet des marées) mentionnant ainsi qu’ un équilibre permanent et  donc un poids constant de l’observateur indifféremment à quel point il se trouverait, soit sur la surface extérieure, que sur la surface intérieure de la Terre, - avec les influences d’altitude qui se maintiennent dans les deux situations-.

      Un autre exemple à vocation de comprendre plus facilement pourquoi les corps sur la surface extérieure ou sur la surface intérieure de la Terre sont attirés surtout et  en premier lieu ver les centre de pesanteur des agglomérations de matière de la proximité immédiate, constitue le fait que les accumulations d’eau sous forme de toile phréatique peut se retrouver partout même aux altitudes plus grande, même si disons il existerait la possibilité de l’écoulement par liens de surface avec le sol beaucoup plus vers leur base, ils restent continuellement entre les couches de matière qui ont évidemment une densité beaucoup plus grande à cause du fait que les forces d’attraction universelle entre deux corps (avec différences de densités évidemment différentes entre elles), - ne permettent pas l’écoulement de ceux-ci vers des altitudes plus petites (à l’exception des surplus se trouvant sous pression pour de différentes causes).

      Pour ces raisons il existent plusieurs sources ou puits forés sur des collines, à la moitié ou à proximité des sommets des pantes etc., ce qui ne se passerait plus en réalité si l’on ne prenait pas en considération les trois précisions faites par moi antérieurement et  apporté en complément des lois d’attraction universelle énoncées par I. Newton.